Pauvre petite [PV Selena]

Maria avait maintenant avait maintenant 6 ans. Un an depuis son arrivé chez moi. J'avais appris à m'attaché à cette enfant, mais seulement depuis peu, j'avais finis par accepter d'être père, père d'une enfant que j'avais jamais connu, dont je ne voulais pas. Aujourd'hui, elle est sur un lit d'hôpital entrain de perdre vie. Le médecin a dit qu'elle en avait plus pour longtemps. Six mois depuis l'annonce de sa maladie. C'était génétique, provenant de sa mère. D'après le médecin, elle est malade depuis sa naissance, mais que là, elle est en fin de maladie, donc à l'approche de la mort. Et si sa mère était au courant? Cela était possible. Je pleure chaque nuit à son chevet. Selena s'occupait du bureau pendant mon absence, on se voyait plus. Je l'avais pas vue depuis 4 mois, depuis le moment où j'avais appris pour ma fille, parce que j'avais décidé de prendre du recule avec Selena. Je ne voulais pas qu'elle participe à ce mal que j'avais, je ne voulais pas qu'elle me voit si triste. Donc, j'étais seul pour surmonter cette prochaine perte. Je tenais la main de Maria, qui me semblait si inerte. J'avais l'impression qu'elle ne m'entendait pas, qu'elle ne ressentait pas ma main. Elle avait palis, elle avait perdu ses joues roses, elle n'avait que la peau sur les eaux et... elle était dans un coma depuis peu, quelques jours. D'après le médecin, elle pouvait partir n'importe quand, seul le temps nous le dira. Je pleure sans cesse, seul, triste et perdu. J'avais tout perdu. De plus, mon problème avec les femmes, m'avait rendu vulnérable et même de Selena, j'en avais peur maintenant, peur qu'elle rit de moi, qu'elle me trouve immature de mon comportement depuis des mois. Non, j'étais mieux seul qu'en couple.

Selena et moi, on s'était tellement aimé, on n'avait pas vécu ensemble, je ne l'ai jamais voulu, même si elle me l'avait tant demandé. On s'était toujours protégé pour faire l'amour, jusqu'à notre dernière fois il y a 4 mois, toujours avec protection. Elle m'avait appris à faire à manger, à faire l'épicerie et à toujours garder mon frigo plein à craquer, pour pas que Maria ne manque de rien, maintenant, il pourra redevenir vide. Je n'avais jamais de temps pour manger, trop pris dans mon travail. J'étais toujours amoureux, mais tout était finis. J'étais capable de vivre sans Selena, même si ça m'étais difficile.

Le coeur de ma fille ralentit, je viens de comprendre qu'elle allait s'éteindre dans peu de temps. Et comme il n'y avait plus rien à faire, on avait cesser de s'occuper d'elle. Je lui chante une berceuse, comme je le fais depuis le début de sa maladie. Je pleure de plus et soudainement, le bip le constant retentit.

Je cris de douleur, je cris de terreur. Je n'avais rien à quoi m'accrocher, à QUI m'accrocher. Je venais de perdre la petite fille qui m'avait appris à aimer les enfants, et de désirer à en avoir un jour. Maintenant j'étais seul au monde, plus rien, pour m'accrocher.

Je m'écroule au sol, une infirmière vient me prendre dans ses bras pour me consoler. Je l'entour des miens et je pleure dans sa blouse blanche.

Ca faisait 1 an que Maria avait débarqué dans notre vie. Elle avait 6 ans mais ces derniers temps, je ne la voyais plus. Julian partait toujours à la même heure pour aller la chercher à la sortie de l'école mais ne revenait pas avec elle, je trouvais ça bizarre. 6 mois exactement et depuis 4 mois, je ne le voyais plus et ça me faisait mal, ont étaient amoureux et ont se voyaient plus, je m'occupais toute seule du cabinet. Je m'inquiétais mais j'avais aucune nouvelle et je n'osais pas en parler à Julian, ont se voyaient plus de toute façon.

Je lui avais tant demandé de vivre ensemble et j'avais un refus à chaque fois, pas une seule fois ont avaient couché sans protection. Je lui avais appris à faire la cuisine, les courses et avoir un frigo toujours plein pour Maria car lui tout seul, il avait prit de mauvaise habitudes.

L'absence de Julian me pesait, je l'aimais et ça se faisait 4 mois que j'avais pas sentis son odeur, que je l'avais pas embrasser, caresser et câliner et ça me manquait et me faisait mal au cœur.

Ca matin, je l'avais suivis et avais assisté, impuissante, à la mort de Maria. Elle était malade et il me l'avait caché. Je courus prendre Julian dans mes bras pour le consoler, je devais être là pour lui, je le serrais contre moi et caressais ses cheveux :

- Je suis là Julian, je suis là.

Je relevais la tête et en tombant sur le cadavre tout frais de Maria, je me mise à pleurer en gardant Julian contre moi. Je me fiche qu'il m'en veuille de l'avoir suivis, il avait besoin de soutien et il avait que moi.

Je sentis une masse contre moi et j'ouvre les yeux et j'y vois la perle de ma vie, celle à qui j'avais mentis, dont j'avais pas osé lui dire la vérité. Je la serre dans mes bras et je pleure à flot.

Elle était malade depuis sa naissance, selon son dossier du Québec... je l'ai perdu, je... je sais plus quoi faire. J'avais pris gout à être père et là j'ai perdu ma seule enfant.

Je trempe sa blouse et je la serre plus contre moi.

Je voulais pas que tu saches, j'étais pas prêt à te le dire et sinon, le cabinet aurait fait faillite. J'aurais été obliger de le fermer tendis que j'avais besoin de toi pour qu'il reste ouvert.

Je la regarde, enfin je la voyais, elle m'avait tant manqué. Je caresse ses joues, mes yeux emplis de larmes la regardait.

Je veux pas te perdre, il me reste plus que toi. Je suis plus rien sans toi, tu as réussis à me changer et là, me voilà seul à nouveau, ma fille parti. Mon bonheur d'être père s'est évaporé.

Il me serra dans ses bras avant de verser un torrent de larmes contre moi, je pouvais pas lui en vouloir, il devait extérioriser sa peine et son doute, sa colère, sa rage et son désespoir. Seul pleurer lui permettait d'extérioriser tout ça. Je cachais comme je pouvais mes larmes pour pas qu'il se mette à pleurer encore plus, encore il faudrait que ce soit possible :

- Je sais Julian, je sais. Je suis là, ça va aller, ont va surmonter cette douloureuse épreuve, tout les deux, ensemble.

La douleur que j'éprouvais n'était rien comparée à celle que Julian devait ressentir. Maria était son sang et sa chair, sa fille biologique, qu'il avait aimé, il s'en était occupé et la vie venait de lui arracher sa fille. Il trempa mon haut mais je m'en fichais car moi j'avais dû inonder son haut, il me serra plus fort contre lui, je caressais ses cheveux :

- Chut, je sais, je comprends tout maintenant, ne t'en fais pas, je t'en veux pas, je comprends.

Oh oui, je comprenais tout. Je lui souris un tout petit peu malgré mes larmes quand il me regarda, les larmes étaient pas faites pour son visage d'ange. Il caressa mes joues, ses yeux emplis de larmes :

- Je resterais à tes côtés, je serrai toujours là, je partirais jamais. Je suis rien sans toi moi non plus. Ont aura un enfant, je te le promets.

Il fallait juste se décider à plus se protéger. Certes je savais pas l'avenir, ni ce qu'il me réservait mais je resterais le plus longtemps aux côtés de Julian. Bien sûr, ont avaient nos animaux mais c'était pas la même chose, nos animaux nous aimaient et c'était réciproque mais entre lui et moi, entre Julian et moi, c'est de l'amour, le vrai je voulais faire ma vie avec lui, qu'importe les obstacles, voilà pourquoi il m'était nécessaire. J'avais besoin de lui auprès de moi, à mes côtés :

- Tu veux rester ou tu préfères partir ?

Je resterais avec lui le temps qu'il faudra, il ne fallait pas qu'il soit seul et qu'il reste seul, ce n'était pas bon pour lui et j'étais son meilleur et sans doute son seul soutien.

Je la regarde et essuies mes yeux du revers de ma main. Je regarde le corps de ma fille.

Je dois d'abord remplir une panoplie de papiers.

Je me lève et au moment où on vint me chercher, on apporta aussi le corps de ma fille à la morgue. Je demande à ce que l'on incinère ma fille. Je vais remplir les papiers et après on rentre chez moi. Je m'écroule sur le divan et je fixe la poupée de Maria que je lui avais offert à son anniversaire. Je la prends dans mes mains et je la colle à moi et je reste un long moment ainsi de continuer de pleurer.

Tout cela dura des jours avant que je redevienne le Julian que j'avais toujours été. Les objets de ma fille avaient disparu et je vivais à nouveau seul chez moi, avec difficulté.

Selena venait me voir chaque jour. On s'aimait tellement et pour me calmer on faisait l'amour aussi, cela m'apaisait. Elle rentra avec sa clé. Je lui souris doucement et je l'embrasse tendrement.

Enfin tu es là! Sans toi je suis perdu. Je... je suis pas encore tout à fait remis, mais ça va un peu mieux, mais j'aime pas être seul.

Je caresse sa joue.

Il me regarda et essuya ses yeux du revers de sa main. Il regarda le cadavre de Maria, je lui fis un petit sourire réconfortant :

- Ah d'accord.

Il se leva quand ont alla le chercher, le corps de Maria fut emmener à la morgue. Julian demanda à ce que Maria soi incinérée. Il remplit les papiers avant qu'ont rentrent chez lui. Il s'écroula sur le divan avant de fixer la poupée qu'il avait offert à Maria pour son anniversaire. Il la prit dans ses mains avant de la coller contre lui en continuant de pleurer.

J'avais dû partir pour m'occuper du cabinet vétérinaire mais je passais le voir tout les soirs après le travail avant de rentrer chez moi. Il n'y avait aucun signe de vie de Maria.

Ont faisaient l'amour souvent, ça l'apaisait et ça nous permettait de se retrouver et d'oublier la perte de Maria, en plus, ont se protégeaient plus et j'espérais tomber enceinte assez rapidement pour qu'il retrouve le plaisir de devenir père et moi de devenir une vraie maman, de porter notre bébé et de le mettre au monde. Ca nous faisaient du bien, ont s'aimaient tellement. Je rentrais avec ma clé, j'en avais une. Il me sourit doucement avant de m'embrasser, je lui souris :

- Oui, enfin, désolée, j'ai eu un contre-temps de dernière minute. Oui, je le sais Julian, je le vois bien. Oui, ça va mieux, ça se voit aussi, tu es sur la bonne voie. Oui, je te comprends, l'être humain n'est pas fait pour vivre seule.

Je frémis et souris quand il caressa ma joue, j'aimais ça. Je pris sa main et caressais ses cheveux tendrement. Je l'embrassais tendrement, je lui fis un petit sourire :

- Julian, fais-moi un bébé ! Je t'aime et je veux devenir une vraie maman. Porter notre enfant et le mettre au monde. Je ressens ce besoin.

Je le regardais dans les yeux en souriant, je ressentais le besoin d'être maman, je n'arrive pas à expliquer pourquoi, ni comment. Je sais juste que c'est comme ça.

Ce qu'elle me demanda me surpris. Après tout ce que je venais de lui faire subir, cet éloignement pendant 6 mois. Je lui souris faiblement.

Je... je sais pas. Tu... tu es vraiment prête à ça?

J'avais beau avoir déjà été père, mais je n'avais jamais élevé un bébé. Mais oui, j'en voulais un, un petit bébé que je pourrais élever dès sa naissance. Je regrette d'avoir refusé Maria avant même qu'elle ne vienne au monde, parce que je n'avais pas été prêt, parce que j'étais trop, différent et impulsif pour avoir un enfant.

Pourtant, mon regard brillait suite à sa demande. Je pris sa main et je la regarde d'un doux sourire.

Alors on fera ce bébé, dès que tu pourras tomber enceinte.

Il me sourit faiblement, je lui souris. Oh oui, j'étais vraiment prête à ça, je ressentais ce besoin en moi :

- Oui, je ressens le besoin d'être maman depuis pas mal de temps. Je me sens vraiment prête et j'approche de la moyenne d'âge des femmes enceintes même si ça m'est égal. Je suis prête à avoir un bébé.

Il c'était occupait à merveille de Maria, ce ne serait pas différent avec notre enfant, fille ou garçon, ou même nos enfants qui sait ? Ont en auraient peut-être plusieurs.

Je souris en voyant son regard briller ça devait le toucher que je lui demande ça et tant mieux d'ailleurs. Il prit ma main et me regarda avec un sourire doux, je lui souris :

- Oh oui. Je suis tellement pressée de devenir maman, t'imagine pas à quel point.

Je l'embrassais et me serrais contre lui en caressant son dos tendrement, je posais mon oreille contre son cœur :

- Je t'aime tellement, tu es ma raison de vivre. Mon rayon de soleil et la personne qui compte le plus pour moi. J'imagine pas ma vie sans toi et j'en mourrais si je devais te perdre.

J'avais ressenti le besoin et la nécessite de lui dire ça, comme si il devait vraiment savoir ce qu'il représentait à mes yeux. Il était bien plus qu'un petit ami et qu'un futur père pour notre ou nos futur enfants, il était tellement plus et il devait le savoir. Il était mon âme soeur.

Je caresse ses cheveux, la gardant dans mes bras. J'embrasse son crâne et je la sers un peu plus contre moi.

Je t'aime tellement, tu es toute ma vie, même si les femmes... je les apprécie pas beaucoup.

Je la regarde dans les yeux.

On fait quoi maintenant? Je me sens mieux, maintenant que... tu veux un bébé.

Je rougis... pleinement.

Il caressa mes cheveux en me gardant contre lui. Il embrassa mon crâne et le serra un peu plus contre lui, je souris et me blottis dans ses bras :

- Visiblement, je suis la seule que tu apprécies et encore mieux que tu aimes alors ça me convient parfaitement.

Il me regarda dans les yeux, je souris, j'aimais tant ses yeux, il avait des yeux magnifiques. Je lui souris et rougis :

- En fait, je ... je suis dans mes temps donc pour le bébé, ont pourraient le faire maintenant.

Je souris, pris sa main et la serrait doucement en la caressant. Je l'embrassais amoureusement avant de le tirer vers sa chambre, enfin notre chambre.

Je la laisse me guider jusqu'à la chambre. Je l'embrasse en prenant son visage dans mes mains.

Je t'aime follement!

Je caresse ses joues et je retire son haut et j'embrasse son épaule. Je l'attire avec moi sur le lit de reculons et je m'assois, elle sur moi. Je l'embrasse avidement.

Je souris sous ses lèvres avant de lui dire à mon tour :

- Je t'aime à la folie.

Je frémis à son baiser sur mes épaules, ma peau était ultra réceptive à ses baisers et ses caresses. Je me retrouvais assise sur lui, je prolongeais avidement le baiser en prenant mon visage dans mes mains, l'obligeant à lever légèrement la tête pour atteindre mes lèvres. Je l'obligeais à s'allonger sur le lit, j'embrassais son cou avant de le mordiller. J'ouvris sa chemise et déposais plusieurs baisers sur ce dernier.

Je retire mon pantalon et je lui enlève son bas. On allait faire l,amour pour avoir un bébé ensemble. C'était tellement magique! Je lui souris et me colle à elle, maintenant nus tous les deux.

Je veux une petite fille qui te ressemble!

Je l'embrasse et je plonge mes lèvres dans son cou, je caresse son dos et je descends mes mains à ses fesses, je passe entre ses jambes pour caresser son sexe, ses lèvres intime.

Julian enleva son pantalon puis mon jean. Pour une fois, ont allaient faire l'amour pour avoir un bébé, pour avoir un mini-Julian ou une mini-Selena. Il me sourit avant de me coller contre lui, je souris :

- Une petite blondinette ? Ca me va.

Je prolongeais le baiser et penchais la tête en frissonnant quand il embrassa mon cou. Je frémis en sentant ses mains caresser mon dos avant de descendre ses mains sur mes fesses. Je hurlais quand il caressa mon sexe :

- Oh bon dieu, Julian !

Je penchais la tête en arrière en me cambrant, j'adorais tant quand il me faisait ça que c'était impossible de rester insensible à ce plaisir.

Je finis par la lâcher avant qu'elle ne jouisse pleinement et qu'on rate la scène. J'étais pas encore excité, pourquoi? Parce qu'elle ne me touchait jamais comme moi je le faisais avec elle. Je devais la dégouter dans un sens, elle aimait peut être pas mettre ses mains sur mon sexe, je n'ai aucune maladie. Tant pis alors. Ça ne sera pas avec du plaisir qu'on concevra le bébé.

Je t'aime, même si tu n'aimes pas mon corps. Toi tu es magnifique, j'aime te caresser, mais c'est pas réciproque.

Je l'embrasse encore et je caresse le creux de son cou.

Il me lâcha avant que je jouisse, je le regardais, il m'embrassa encore avant d'embrasser mon cou :

- Quoi ? Bien sûr que si j'aime ton corps sinon je coucherais pas avec toi. Tu es canon, j'aime te caresser mai des fois j'ai l'impression que tu préfères me le faire mais je viens de me rendre compte que je me trompe.

Je l'embrassais tendrement avant de caresser son cou, j'embrassais son torse et prit son sexe en main avant de faire de longs va-et-vient. Je l'embrassais tendrement tout en continuant mes va-et-vient.

Je soupire et baisse le regard. Pourquoi elle attend que je lui dise de me toucher alors? Mais elle finit par me toucher, je gémis pleinement, ça me faisait du bien.

Oh... Selena!

Je penche ma tête en arrière et je la laisse me caresser. J'attrape le de ses seins et de mon pouce je caresse doucement son mamelon.

Il soupira avant de baisser le regard mais il gémit rapidement, ce qui me fit sourire encore plus quand il gémit mon nom. Il pencha sa tête en arrière avant de me laisser le caresser. Alors que je le caressais il attrapa un de mes seins avant de caresser mon mamelon avec son pouce me faisant gémir :

- Oh Julian !

Je le laissais faire avant de prendre son sexe dans ma bouche et fis de rapides va-et-vient.

Nom de dieu! Je n'avais jamais ressentis une telle chose de toute ma vie! Je gémis fortement m'agrippant à sa chevelure.à

Selena...

Je ferme les yeux et je profite du moment, jusqu'à ce que je sens ma jouissance venir.

Je... je me veux en toi, je... je vais venir... Selena?

Je me sers les dents et la repousse pour pas venir dans sa bouche, je l'embrasse et lui caresse la joue. Je tiens mon sexe en main, il était très gonflé, prêt à expulser ma semence.

Il gémit en agrippant fortement mes cheveux, j'émis un gémissement de douleur et de plaisir. Avant que je recule, il me repoussa et m'embrassa avant de caresser ma joue. Je souris et le fit entrer en moi dans un gémissement. Je l'embrassais avidement en souriant avant de commencer des va-et-vient, j'allais bien voir si ça le gênait ou pas que je mène la danse.

Je gémis quand elle m'inséra en elle, d'elle même en prenant mon sexe et le mettant à son entrée et elle me glissa en elle. cela m'excitait pleinement. J'adorais ça! Elle s'élance un moment et je m'agrippe à ses hanches et je me bouge mon bassin de haut en bas. Je lui souris. Je gémis fortement.

Selena... tu es... une beauté qui sait me plaire.

Je sentais ma jouissance venir et je penche ma tête en arrière et je vins en elle, criant son nom et écrasant ses seins dans le creux de mes mains. J'attrape son visage pour l'embrasser et étouffer nos cris.

Faisons un bébé! Je sais que je peux te l'offrir.

Je la regarde dans les yeux lui souriant.

Je souris en l'entendant gémir quand je l'insérais en moi. Je souris en sentant les mains de Julian sur mes hanches en bougeant son bassin de haut en bas pour accompagner mes mouvements. Il me sourit avant de gémir fortement, je lui souris :

- Merci mon chéri.

Il pencha sa tête en arrière avant de venir en moi en criant mon nom et en écrasant mes seins dans ses mains me faisant mal mais bizarrement ça me fit du bien donc je me contentais de gémir fortement en jouissant à mon tour, gémissement étouffé car Julian avait prit mon visage pour m'embrasser, je lui souris tendrement :

- Je suis sûre que ça a marché. Je t'aime.

Je le regardais dans les yeux et l'embrassais tendrement. Je me levais doucement pour qu'il sorte de moi, je caressais sa joue et m'allongeais contre lui avant de m'endormir.

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