Une soirée différente(HOT!!!!) [PV Selena]

Je lui souris, avant de me lever pour me rhabiller, je le rejoins à la cuisine avant de sourire sur ses lèvres :

- Je t'aime aussi sincèrement. Je te l'avais dis, ça te tombera dessus que tu le veuilles ou non et je suis ravie que ce soit tombé sur moi. Trop exigeant ? L'exigence ne me gêne pas, je veux te rendre heureux et tu dois pas hésiter à me dire quand quelque chose te déplait ou ne te vas pas, je t'en voudrais jamais.

Je souris et m'approchais de lui pour l'embrasser, il devait pas avoir peur d'être exigeant, je lui en voudrais pas :

- Tu auras pas de problèmes avec moi, tu es parfait. Tout simplement et puis même si c'était pas le cas, je t'aurais aimé comme tu es avec tes défauts et tes qualités.

Je lui souris et m'assis à table, attendant de goûter ce qu'il avait fait.

Je soupire et baisse le regard.

J'ai aucune qualité.

Je mets la table et je sers à manger et je m'assois à table. Elle se foutait carrément de ce que je pouvais être. C'est faux! Aucune femme n'aime les hommes violents et autoritaires.

Bonne appétit.

Je me demande vraiment si c'était sincère de sa part.

Je lui souris :

- Bien sûr que si mais toi tu vois les qualités que je vois comme des défauts. Tu es un homme doux et attentionné et tu es passionné dans ce que tu fais que ce soit dans ta vie privée ou professionnelle.

Je souris :

- Merci toi aussi.

Je commençais à manger, il avait une autre qualité, il était un excellent cuisinier, je lui souris :

- Hum, c'est délicieux, je me régale.

Je regardais autour de moi :

- De toute façon, si tu es trop exigeant, je te le dirais.

Je lui souris tendrement en continuant de manger.

Je soupire, j'avais aucune qualité, ce n'étaient pas des qualités ce qu'elle signifiait de qualité. Je déteste tout dans ce monde, je suis arrogant, détestable et je sais même pas élever un enfant, je suis pas un bon père. Et je savais déjà que Selena et moi ça ne durera pas longtemps. Quelques semaines, pas plus.

Tu aimes ce que je fais que pour me faire plaisir.

Je finis de manger et je nettoie tout. J'allai dans la salle de bain, pour réfléchir. Au finale, je regrettais tout, ça ne marchera pas, car on est l'opposé l'un de l'autre. Je sors de la salle de bain, il me fallait un courage à deux mains pour lui dire ça.

Écoute, on aurait pas dû... coucher ensemble. Je suis désolé de gâcher ta première fois, mais, c'est pas avec moi que t'aurais dû l'avoir. Je serais jamais à la hauteur. Ma fille, je ne sais même pas l'élever, je suis pas un bon père, elle me trouve trop... après elle, je suis trop présent dans sa vie et toi, je saurais jamais comment m'y prendre, la preuve, j'ai mal fait tout à l'heure en me déshabillant devant toi. Les femmes... je les ai jamais aimé et avec toi, ce n'est pas moi, mais mon deuxième cerveau qui parle... mon sexe.

J'ouvre la porte et la regarde.

Tu devrais rentrer chez toi.

Il soupira. Qu'est-ce qui allait pas ? Je sourcillais, non si j'aimais pas ce qu'il avait fait, je lui aurais dis mais j'aurais finis le plat quand même, ne serait-ce que par politesse :

- Non, j'aime vraiment, si j'aimerais pas, je te l'aurais dis. Tu peux me croire, je suis sincère.

Je finis de manger avant de mettre mes couverts, mon assiette et mon verre dans l'évier. Il alla dans la salle de bain, je restais dans le salon assise sur le canapé. Je l'écoutais avant de soupirer au fur et à mesure de ses paroles :

- Je t'interdis de dire une chose pareille, j'ai envie de garder un bon souvenir de ma première fois. Mais si, d'ailleurs, tu as été la hauteur. Elle te trouve trop après elle à 4 ans ? Elle est précoce cette petite. Tu es juste sur protecteur, avec le temps ça passera, tu es un papa poule, ça prouve que tu l'aimes. Tu dois juste apprendre à lui laisser un peu de liberté, elle a que 4 ans, à son adolescence tu devras lui laisser plus de liberté. Je suis toujours d'accord pour t'aider à l'élever. Tu ne savais pas comment t'y prendre, ça s'apprend et puis tu es un mec après tout, ont a un rapport différent sur ce sujet. Tu crois que je le savais pas ? Tu es un homme, c'est rare que vous réfléchissiez avec votre cerveau, je te plais, c'est pour ça que tu agis avec ton sexe et pas avec ta tête.

Je le regardais et croisais les bras, non j'allais pas partir, je ne voulais pas partir, pas dans ces conditions :

- Non, je reste. Je vais pas partir aussi facilement, pas dans ces conditions, tu dois me faire confiance et me croire, je t'aime et je ne veux pas regretter notre première fois et notre relation. Reste à savoir si tu es dans le même cas que moi ou pas.

Je le regardais dans les yeux, les bras toujours croisés sur ma poitrine et avec le regard dur, là j'allais pas me laisser faire.

Je soupire, mais nom de dieu, qu'est ce que je viens de faire? Je m'approche d'elle et prends sa main dans la mienne.

Je suis un con, je... j'ai peur de tout gâcher, alors je préfère... ne pas avoir de relation c'est tout. Je vais te donner une vie infernale si on devient un couple et je veux pas gâcher ta vie. Je suis pas un mec bien, J'ai des problèmes et je les cache en m'occupant avec ma passion et mon travaille. Je n'ai aucune qualité, la preuve, ma fille n,aime pas comment je l'élève, je suis trop exigeant et toi parce que tu es trop amoureuve tu vois pas que j'ai juste des défauts.

Je baisse le regard honteux.

Maria est pas ta fille, je ne peux pas te demander une telle chose, t'occuper d'elle.

Je caressais sa main et lui souris :

- Faire ma vie avec toi, ne sera pas la gâcher. Tu es son père, elle a pas le choix, elle doit t'obéir, tu l'as nourris, la loge et la protège, elle doit t'obéir. L'amour rend aveugle mais je t'aime mon chéri, j'ai pas envie de passer à côté de la plus belle histoire d'amour de ma vie.

Je relevais sa tête pour qu'il me regarde dans les yeux :

- Maria m'aime bien et j'adore cette petite. Je serais ravie de t'aider avec elle et elle avait l'air heureuse de voir qu'ont pourraient être ensemble.

Je l'embrassais tendrement :

- Laisse-moi essayer, je suis sûre que je pourrais t'aider et que tout ira mieux entre vous.

Je lui souris tendrement et avec amour.

Je la regarde dans les yeux. Je rougis aussi. J'étais nerveux, parce que, j'aurais jamais cru qu'une femme aurait voulu de moi un jour et qu'elle m'accepte comme je suis.

Je peux pa croire.... Je peux pas croire que ça n'arrive. Que... Tu puisses n'aimer et.... Vouloir une fille aussi. Cette enfant sera aussi ta fille si tu m'accepte dans ta vie. Il faudra que tu agisse comme une mère avec, dans tous les sens. Ça te pratiqueras pour quand tu seras prête à avoir un enfant avec moi.

Je lui souris.

Vraiment, faut que je sois amoureux pour que je te veule dans ma vie.

Je souris en le voyant rougir, c'était si mignon un homme qui rougissait. Je lui souris et caressais sa joue :

- Crois-le pourtant, c'est la vérité, je t'aime comme tu es. Ça me gêne pas de devenir la seconde maman de Maria, si elle m'accepte comme telle bien sûr, son bien-être passe avant tout et je suis prête à lui laisser du temps avant qu'elle me considère comme sa maman.

Je souris tendrement :

- Je le sais Julian et j'en suis honorée.

Je me serrais contre lui :

- Je t'aime tellement, je suis tellement heureuse qu'ont soient enfin ensemble.

Je lui souris et embrassais tendrement son cou.

Quand elle pose ses lèvres ainsi contre mon cou, ça m'excitait et là, j,avais envie d'elle encore une fois. Je prenais gout à notre première union et jamais je m'en lasserais.

Sel... arrête ça chatouille et... ça m'excite.

Je rougis encore plus, la regardant dans les yeux. Je prends sa main et je la tire à la chambre.

Tu veux bien, qu'on le refasse?

Je lui souris et l'embrasse amoureusement, passionnément.

Je souris en l'entendant dire que ça la chatouillait et que ça l'excitait, je retirais mes lèvres de son cou :

- Oh désolée, je voulais pas te faire ça.

Je lui souris en le voyant rougir, je le suivis dans la chambre et lui souris, je profitais de ce baiser :

- Oui, je le referais avec plaisir.

Je lui enlevais son T-shirt avant d'embrasser son torse avec envie et passion.

Je la laisse me déshabiller jusqu'à ce que je réfléchisse et que je devais m'excuser. Je prends donc ses poignets dans mes mains et je la regarde.

Écoute je... je suis désolé pour tout à l'heure. Je suis nerveux et indécis à l'idée d'être amoureux. J'ai jamais voulu ça. J'ai peur de tout gâcher, tandis que je sais que je vais tout gâcher. Maintenant que je sais ce que ça fait, j'ai envie d'avoir une vrai famille, je ne veux pas que Maria grandis sans mère. Elle a perdu la sienne et a faillit ne jamais avoir de père. Je ne veux pas qu'elle ait l'un des deux seulement et je veux juste être certain que tu ne te sente pas obligé de m'aider avec ma fille, car tu ne l'as pas mise au monde et que c'est une grande responsabilité, crois moi, j'en ai l'expérience.

Je souris et je l'embrasse.

Oui je t'aime vraiment, mais je suis pas comme les autres mecs, je suis un mec à problème et peu confiant.

Il m'arrêta, je le regardais et lui souris :

- C'est pas grave, je te pardonne Julian. Tu ne vas rien gâcher, pour le moment ça se passe bien non ? Je ne me sens pas obligée de t'aider avec Maria. J'adore cette petite fille et je serais ravie de t'aider. Je sais que c'est une grande responsabilité et je suis prête à m'occuper d'elle avec plaisir et je pense que comme nous nous entendons bien elle et moi, elle sera contente que je joue le rôle d'une seconde maman.

Je prolongeais le baiser et lui souris tendrement :

- Je t'aime tellement aussi. Je m'en fais pas, je suis sûre que je pourrais faire avec et que je saurais gérer.

Je lui enlevais son pantalon et me collais contre lui en lui donnant un baiser passionné.

Je l'entour de mes bras, elle pas encore déshabiller. Je passe mes mains sous sa robe et je caresse son dos.

On vient juste de le faire, il y a une heure.

Je souris et pose mon nez contre le sien. Je lui retire sa robe, nus tous les deux. Je vais à la commode et prends un autre préservatif. Je le montre à Selena.

Par chance que j'en ai d'autres.

Je le pose sur le coin du lit et je reviens à ma douce.

Je souris dans ses bras et frissonne en sentant ses mains sous ma robe, je ris :

- Oui, je le sais mais j'en ai encore envie.

Je frémis en sentant son nez contre le mien, je lui souris et m'allongeais sur le lit, une fois que je fus toute nue, je lui souris :

- Oui, c'est une chance.

Je l'embrassais en l'attirant sur moi, je caressais son dos en mordillant son cou.

Je me colle à elle, moi sur elle. Je lui souris et je l'embrasse passionnément. Je caresse son cou et j'embrasse son sein. Je sentais ses doux frissons sous mes doigts. Je souris sans cesse, respirant rapidement. L'excitation au plus haut point. Je n'ai pas le choix, je dois mettre le préservatif avant de commencer, ce que je fais. je me repose sur elle, mais je ne m'insère pas.

Dis moi ce que tu veux que je te fasse mon amour?

Je lui souris et caresse sa joue.

Je souris en le sentant contre moi, je prolongeais le baiser en caressant sa nuque, je frissonnais en sentant sa bouche torturer mon sein :

- Han Julian ...

Je fermais les yeux pour ressentir encore plus ses caresses. Je lui souris et dis en le regardant dans les yeux :

- Fais-moi hurler de plaisir, je veux aussi que tu profites de mon corps, autant que tu veux, tortures-moi par tes baisers et tes caresses.

Je lui souris et embrassais son torse.

Je souris et me colle plus à elle, je continue mes caresses à son corps, passant mes mains de ses seins à son sexe, dont j'enfouis deux doigts en elle et je la caresse de son intérieur. Je l'embrasse passionnément et j'embrasse son cou.

Je suis fou de toi!

Je caresse son bouton sensible de mon pouce pendant que mes autres doigts caresse son intérieur en vas et viens.

Je souris en le sentant contre moi, ses caresses déclenchaient des sensations que j'adorais et qui m'excitais. Je gémis doucement quand il entra deux doigts en moi. Je prolongeais le baiser en souriant :

- Je suis fou de toi moi aussi, tu me rends folle aussi.

Il se mit à titiller mon clitoris, me déclenchant une chaleur dans mon bassin et me faisant gémir plus fortement :

- Oh oui Julian, oh oui.

Je le regardais dans les yeux et lui souris :

- Puis-je profiter de ton corps moi aussi ?

J'avais envie de profiter du sien tout simplement.

Je lui souris et je lâche son sein, je caresse sa joue et je l'embrasse tendrement, tout souriant, tout mes yeux bleus brillants.

Oh oui, fais moi gémir!

Je me couche sur le lit pour qu'elle ait accès à mon corps et je prends sa main souriant et je caresse le dessus avec mon pouce.

Tu me rends heureux tu sais, mais vraiment beaucoup, je veux une famille avec toi éventuellement, on approche la trentaine et j'ai un bon travaille et... toi aussi.

Je lui souris et j'attends qu'elle s'attaque à moi.

Je lui souris et prolongeais son baiser en passant ma main dans ses cheveux en douceur. Nos yeux plongeaient dans ceux de l'autre, brillaient de bonheur. Je souris et lui murmurais à l'oreille :

- Je vais faire de mon mieux.

Je souris en le voyant se coucher sur le lit pour me laisser accès à lui et à son corps. Je lui souris quand il caressa ma main :

- Tu me rends heureuse aussi Julian. Je veux avoir une famille avec toi. Oui, j'ai un bon travail et grâce à toi.

Je lui souris et embrassais son torse. Je descendis mes lèvres sur son ventre et commençait à lécher son sexe. J'espérai juste bien m'y prendre, j'allais vite le savoir de toute façon. Si il gémissait, c'était oui, dans d'autres cas, si il gémissait pas ou pas de bonheur, c'est que je m'y prenais mal.

Oh nom de dieu, mais ce qu'elle me faisait, je n,avais jamais ressentis cela, c'était... si excitant.

Sel... continue, ça... ça me fait du bien.

Je pose mes mains sur sa tête et je caresse ses cheveux. Je penche la mienne par en arrière et je profite de se merveilleux moment.

Han...!

Je ferme les yeux, je sentais ma jouissance venir.

Je... je vais venir, à moins que tu sois prête à ça?

Pour sa première fois, je fus surpris qu'elle accepte déjà de mettre mon sexe en bouche. Je lui ferai la même chose si elle le veux.

Je veux mettre ma langue en toi.

Oui, la léché de ma langue à son sexe.

Je souris quand il me dit que je devais continuer, que ça lui faisait du bien, ça prouvait que je m'y prenais bien. J'adorais ses mains sur mes cheveux, je souris en voyant sa tête partir en arrière en lançant un cri de plaisir. J'arrêtais immédiatement en l'entendant :

- Oh non, pas ... maintenant, pas aussi vite.

Je lui souris et me mordis la lèvre, je l'embrassais avidement en caressant sa joue et dis à son oreille :

- Je veux sentir ta langue sur mon sexe.

Je caressais son torse avec mon index en souriant. Je déposais des baisers sur son torse attendant que Julian s'occupe de moi.

Je souris quand elle accepta. Ça me donnera la chance de calmer mon sexe en érection et prêt à jouir. Je descends vers son sexe et je caresse son bouton sensible de mon pouce, je pose ensuite ma lange dans son entrée. Je goute à son jus, ce qui m'excita grandement. Je lâche de mon pouce son sexe et j'y pose ma langue à la place et je fais des petits ronds rapides et je mets deux doigts en elle en même temps, j'y fais des vas et viens. Je reste un long moment à la caresser ainsi. Je retire ma langue et je la regarde souriant.

Pour la première fois de ma vie, je suis heureux et bien. Tu es celle qui fait battre mon coeur. Il s'était arrêté depuis un moment.

Je m'approche de son visage et je l'embrasse farouchement et amoureusement, ses joues dans mes mains, mon sexe collé contre le sien.

Je lui souris et le laissa s'occuper de moi. Je gémis quand il caressa son clitoris de son pouce. Je hurlais de plaisir quand je sentis sa langue sur mon clitoris mais les ronds qu'il faisait me faisaient tellement de bien :

- Oh oui Julian . OH OUI !!!

Il mit deux doigts en moi, ce qui accentua mes gémissements, ma respiration commençait à s'accélérer. Il continua un long moment, un long et doux moment même quand il arrêta, j'avais tellement eu de plaisir que mon cerveau et mon corps pensait encore plaisir. Je lui souris :

- Moi, je suis heureuse avec toi, tu fais mon bonheur, tout simplement. Merci, ça me touche ce que tu dis.

Je prolongeais le baiser en caressant son dos, je gémissais en sentant son sexe contre le mien, ça m'excitait tellement.